Le projet permettra de :

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• Réduire la dépendance énergétique du Royaume et renforcer sa capacité de production électrique ;

• Réduire l’impact négatif des importations d’énergie fossile sur le budget de l’Etat et sur la balance commerciale du Royaume ;

• Valoriser et maîtriser une ressource nationale : le Maroc bénéficie d’un taux d’ensoleillement exceptionnel, le projet permettra alors d’assurer que la valorisation de la ressource solaire sera maîtrisée au niveau national et ainsi de faire bénéficier les populations des retombées économiques;

• Favoriser la création d’une nouvelle filière solaire au Maroc ;

• Créer un avantage compétitif énergétique sur le long terme ;

• Réduire les émissions de gaz à effet de serre : Les émissions des gaz à effet de serre dont le rejet sera évité par la mise en exploitation des deux centrales solaires Noor II et Noor III sont estimées à l’équivalent de 522 milles tonnes de CO2 par an, soit 13 millions de tonnes de CO2 sur les 25 ans de durée d’exploitation des centrales. Les émissions de gaz à effet de serre  qui seront évitées par la première centrale Noor I étant de 240 milles de Co2 par an (6 millions de tonnes sur les 25 ans), les centrales Noor II et Noor III porteront à 762 milles tonnes de CO2 par an, les émissions des gaz à effet de serre qui seront évitées par le complexe d’Ouarzazate est à 19 millions de tonnes de CO2 sur les 25 ans. Le plan solaire marocain totalisant 2 000 MW dont fait partie le projet vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre à hauteur de 3.8 millions de tonnes de CO2 par an à l’horizon 2020.